Je ne comprends pas.
Je ne comprends rien.
It's weird…
The Wired ?
Je ne comprends rien.
It's weird…
The Wired ?
« Chisa Yomoda nous a écrit… Elle nous a toutes écrit ! Elle nous envoie des e-mails le soir… Et toi Lain, et toi ? Tu as reçu quelque chose ? DIS-NOUS ! «
Lain ne comprend pas. Que se passe-t-il ? Pourquoi une telle effervescence autour de simples mails ?
« Mais Lain, tu as oublié ! Chisa s'est suicidée le mois dernier ! »
Tout bascule. En rentrant chez elle, Lain se rend compte qu'elle aussi à reçu un mail de Chisa… et cherche à savoir d'où vient ce mail. A partir de là, elle commence, elle qui ne connaissait rien à l'informatique, en s'enfermer peu à peu dans ce monde… Elle sombre dans le Wired, le Réseau.
Une Otaku, une Geek ? Non. Le Réseau la rend folle. Peu à peu, Lain devient paranoïaque, et...schizophrène. Elle commence à développer une seconde personnalité, ou plutôt à la laisser sortir : la Lain du Wired. Et sans même s'en rendre compte, une troisième Lain apparaît…
Mais on ne change pas autant sans faire de mal à son entourage. Lain, fais attention !
Attention petite Lain. N'oublie pas la vie et les gens qui t'entourent, tu te perds…
Tu t'approches de secrets trop dangereux et trop puissants pour toi, Lain ! Arrête-toi… Arrête !
…
« Onee-San ? »
Lain ne comprend pas. Que se passe-t-il ? Pourquoi une telle effervescence autour de simples mails ?
« Mais Lain, tu as oublié ! Chisa s'est suicidée le mois dernier ! »
Tout bascule. En rentrant chez elle, Lain se rend compte qu'elle aussi à reçu un mail de Chisa… et cherche à savoir d'où vient ce mail. A partir de là, elle commence, elle qui ne connaissait rien à l'informatique, en s'enfermer peu à peu dans ce monde… Elle sombre dans le Wired, le Réseau.
Une Otaku, une Geek ? Non. Le Réseau la rend folle. Peu à peu, Lain devient paranoïaque, et...schizophrène. Elle commence à développer une seconde personnalité, ou plutôt à la laisser sortir : la Lain du Wired. Et sans même s'en rendre compte, une troisième Lain apparaît…
Mais on ne change pas autant sans faire de mal à son entourage. Lain, fais attention !
Attention petite Lain. N'oublie pas la vie et les gens qui t'entourent, tu te perds…
Tu t'approches de secrets trop dangereux et trop puissants pour toi, Lain ! Arrête-toi… Arrête !
…
« Onee-San ? »
Lain Iwakura : Jeune fille introvertie avec pour seule attache au monde réel son amie d'enfance, Alice. Le jour ou elle achète un nouvel ordinateur, tout bascule. Les gens la reconnaissent dans la rue. Elle pousse un homme à se suicider à l'aide d'une seule phrase. Et sa personnalité… change. Ou plutôt, se dédouble. Ressemblant à une poupée avec une coupe dissymétrique qui exprime son instabilité mentale, elle va elle-même, petit à petit, chercher à se détruire…
Mika Iwakura : La sœur ainée de Lain, et la seule personne censée de toute la famille. Elle s’intéresse de plus en plus à sa sœur à mesure où elle s'enfonce dans le Wired. Et elle cherche par tous les moyens à l'en sortir.
Alice Misuki : Alice Misuki La meilleure et seule amie de Lain. Elle essaie de la sauver de l'emprise du Wired en la forçant à sortir et à vivre un peu en extérieur, sans se douter des dangers qu'elle court… Ce personnage se développe de plus en plus pendant l'anime et prend une place de plus en plus grande.
Eri Masami : Le créateur du Wired. Le réseau neuronal qui relie les êtres humains… On l'appelle aussi Dieu.
Les chevaliers : Les fidèles d'Eiri Masami. Des hackers, des Knights qui agissent dans l'ombre pour protéger leur maître, même si cela implique de s'attaquer également à Lain.
Les hommes en noirs : Les hommes opposés aux chevaliers. Des informaticiens, des hackers qui veulent supprimer Masami et les Chevaliers. Il est difficile de les comprendre et on n'a pas de réelles informations sur eux, à part le fait qu'ils ont des armes qui peuvent faire mal.
« Qu'importe où tu iras, peu importe que tu veuilles changer les choses. Tout le monde est connecté. »
Faisons une critique simple.
J'ai rien compris, mais j'ai adoré. Point.
Si on veut plus développer ces deux phrases, cela donnerait quelque chose comme cela…
Il suffit de voir les graphismes pour comprendre qu'on plonge dans un anime bien compliqué. Ces derniers sont plus qu'originaux, des petits yeux, des fripouilles plutôt rondes, des couleurs pales… Et parfois psychédéliques. Tout pour créer un univers de folie, au sens propre, de paranoïa et de bizarrerie…
Et j'ai adoré ces graphismes, il sont…
Dérangeants ?
Magnifiques.
Ils sont extrêmement épurés. C'est ce qui permet, selon moi, de s'identifier au mieux aux personnages et de s'y attacher, mais je sais que ces graphismes en rebuteront plus d'un.
On se concentre beaucoup sur les yeux des personnages. Les yeux de Lain… lorsqu'ils sont traversés par des filins, on sait qu'elle est dans le Wired. Et c'est la seule…
Mensonge.
…façon de le savoir.
Et l'anime en général ? L'histoire ?, me direz-vous.
Un chef d'œuvre, tout simplement. Bien que sorti il y a un peu moins d'une décennie, il continue de susciter les interrogations et les critiques.
Les sujets abordés sont nombreux, et tous plus intéressants les uns que les autres.
La différence du réel avec le virtuel
Les suicides de groupe chez les jeunes
Les maladies mentales
Les problèmes de famille
Les troubles identitaires
La technologie !
L'invasion de celle-ci
Les problèmes liés à l'adolescence
La drogue
L'apparition de communautés, de sectes cachées, underground, under, UNDERGROUND !
Lain est-elle aimée par sa famille ? Cette jeune fille qui se promène dans le costume d'un ours, qui s'enfonce dans le monde virtuel pour découvrir le réel n'a-t-elle pas un problème plus grave que son addiction ?...
On est très vite
Destabilisé
…enchanté par la psychologie qu'on ressent dès le premier instant. Choisir de commencer son anime par un suicide n'est pas un acte anodin et met directement dans l'ambiance…
On doute, dans cet anime, de la chose la plus élémentaire : l'existence même du monde réel. Et si après tout, nous vivions dans le Wired ?
Les scènes se répètent. Le bruit omniprésent des fils électriques… Outre le fait que le réalisateur adore les constructions électriques, il y a bien une raison à la présence de tant d'installations… et à l'insistance qu'on a dessus ! Il y a des zones de blanc. Des moments où on ne voit plus rien. Des apparitions, des formes qui se dessinent, des ombres dans les ombres…
Lain dans le ciel
Aussi oui.
Je n'arrivais pas à deviner la moindre des actions qui allaient suivre, et c'est un véritable coup de maître. Douleur, rire, surprise ? Wired.
La famille m'a choquée. On n'y voit pas d'amour. On n'y voit même pas d'affection… Nous n'y voyons que les habitudes bien enclenchées qui continuent dans une famille en apparence ordinaire.
Les rouages bien huilés d'une mécanique.
Sa mère ne s'occupent que du ménage, d'entretenir la maison. Son père reste sur son ordinateur. Sa sœur est… le point d'ancrage, la chose qui maintient tous les rouages en place. Une fille normale.
Lain se pose des questions de plus en plus paranoïaques. Sa famille est-elle sa famille ? Y a-t-il un Dieu dans le Wired ?
God.
Remettant ainsi en question l'existence même d'une religion, Lain relie par sa seule présence dans le réel et dans le Wired des événements qui semblent complètement en désaccord.
Parfois... nous allons dans les environnements de jeux vidéos. Et à ce moment-là, nous sommes environnés de pixels. De monstres irréels. Mais pourquoi Lain apparaît-elle normalement ? Quelle force a-t-elle ? Elle-même ne sait pas ce qu'elle est. Elle agit sans le savoir, elle ne se connait pas…
God.
Imaginez-vous. Vous marchez dans la rue, les enfants se retournent sur votre passage et vous reconnaissent facilement, vous vous voyez vous-même et vous entendez des choses que personne d'autre n'entend… selon vous, qu'est-ce ?
Par…
Tais-toi, toi!
Faisons une critique simple.
J'ai rien compris, mais j'ai adoré. Point.
Si on veut plus développer ces deux phrases, cela donnerait quelque chose comme cela…
Il suffit de voir les graphismes pour comprendre qu'on plonge dans un anime bien compliqué. Ces derniers sont plus qu'originaux, des petits yeux, des fripouilles plutôt rondes, des couleurs pales… Et parfois psychédéliques. Tout pour créer un univers de folie, au sens propre, de paranoïa et de bizarrerie…
Et j'ai adoré ces graphismes, il sont…
Dérangeants ?
Magnifiques.
Ils sont extrêmement épurés. C'est ce qui permet, selon moi, de s'identifier au mieux aux personnages et de s'y attacher, mais je sais que ces graphismes en rebuteront plus d'un.
On se concentre beaucoup sur les yeux des personnages. Les yeux de Lain… lorsqu'ils sont traversés par des filins, on sait qu'elle est dans le Wired. Et c'est la seule…
Mensonge.
…façon de le savoir.
Et l'anime en général ? L'histoire ?, me direz-vous.
Un chef d'œuvre, tout simplement. Bien que sorti il y a un peu moins d'une décennie, il continue de susciter les interrogations et les critiques.
Les sujets abordés sont nombreux, et tous plus intéressants les uns que les autres.
La différence du réel avec le virtuel
Les suicides de groupe chez les jeunes
Les maladies mentales
Les problèmes de famille
Les troubles identitaires
La technologie !
L'invasion de celle-ci
Les problèmes liés à l'adolescence
La drogue
L'apparition de communautés, de sectes cachées, underground, under, UNDERGROUND !
Lain est-elle aimée par sa famille ? Cette jeune fille qui se promène dans le costume d'un ours, qui s'enfonce dans le monde virtuel pour découvrir le réel n'a-t-elle pas un problème plus grave que son addiction ?...
On est très vite
Destabilisé
…enchanté par la psychologie qu'on ressent dès le premier instant. Choisir de commencer son anime par un suicide n'est pas un acte anodin et met directement dans l'ambiance…
On doute, dans cet anime, de la chose la plus élémentaire : l'existence même du monde réel. Et si après tout, nous vivions dans le Wired ?
Les scènes se répètent. Le bruit omniprésent des fils électriques… Outre le fait que le réalisateur adore les constructions électriques, il y a bien une raison à la présence de tant d'installations… et à l'insistance qu'on a dessus ! Il y a des zones de blanc. Des moments où on ne voit plus rien. Des apparitions, des formes qui se dessinent, des ombres dans les ombres…
Lain dans le ciel
Aussi oui.
Je n'arrivais pas à deviner la moindre des actions qui allaient suivre, et c'est un véritable coup de maître. Douleur, rire, surprise ? Wired.
La famille m'a choquée. On n'y voit pas d'amour. On n'y voit même pas d'affection… Nous n'y voyons que les habitudes bien enclenchées qui continuent dans une famille en apparence ordinaire.
Les rouages bien huilés d'une mécanique.
Sa mère ne s'occupent que du ménage, d'entretenir la maison. Son père reste sur son ordinateur. Sa sœur est… le point d'ancrage, la chose qui maintient tous les rouages en place. Une fille normale.
Lain se pose des questions de plus en plus paranoïaques. Sa famille est-elle sa famille ? Y a-t-il un Dieu dans le Wired ?
God.
Remettant ainsi en question l'existence même d'une religion, Lain relie par sa seule présence dans le réel et dans le Wired des événements qui semblent complètement en désaccord.
Parfois... nous allons dans les environnements de jeux vidéos. Et à ce moment-là, nous sommes environnés de pixels. De monstres irréels. Mais pourquoi Lain apparaît-elle normalement ? Quelle force a-t-elle ? Elle-même ne sait pas ce qu'elle est. Elle agit sans le savoir, elle ne se connait pas…
God.
Imaginez-vous. Vous marchez dans la rue, les enfants se retournent sur votre passage et vous reconnaissent facilement, vous vous voyez vous-même et vous entendez des choses que personne d'autre n'entend… selon vous, qu'est-ce ?
Par…
Tais-toi, toi!
Dans la lignée d'Akira, sur un fond sombre et torturé, avec des graphismes tranchants et si simples qu'ils en sont incroyablement parlants, une ambiance si compliquée qu'elle en refoulera plus d'un, Lain vous attirera implacablement dans un---
Rejoignez-moi. Connectez-vous.
Vous savez ?
« Le vrai monde… n'est absolument pas réel. »
Rejoignez-moi. Connectez-vous.
Vous savez ?
« Le vrai monde… n'est absolument pas réel. »